Taxes immobilières en Espagne : a savoir absolument avant d'acheter
Consultez toutes las taxes immobilières à prendre en compte lors d'un achat immobilier en Espagne
Dans le monde de l'immobilier, investir hors de nos frontières peut parfois paraître compliqué. Surtout quand il s'agit de comprendre et de naviguer dans les méandres des frais et taxes applicables. Pour nos clients francophones souhaitant investir en Espagne, nous mettons à disposition cet article qui aborde les principaux impôts et taxes relatifs à l'achat d'un bien immobilier dans ce pays.
Avant d'acheter un bien immobilier en Espagne
La première étape pour tout investisseur étranger souhaitant acquérir un bien en Espagne est l'obtention du NIE (Número de Identificación de Extranjero). Il s'agit d'une carte d'identification avec un numéro unique et personnel, indispensable pour toute transaction sur le territoire espagnol.
Après avoir obtenu votre NIE et sélectionné le bien qui vous convient, il est recommandé de le réserver pour prévenir toute vente à un tiers avant la finalisation de votre transaction. Il est également essentiel de vérifier la conformité des documents du bien immobilier et de s'assurer qu'il est libre de toute dette.
Ces étapes franchies, vous pouvez passer à la rédaction du contrat de vente (contrato de arras), qui représente un accord formel entre l'acheteur et le vendeur et sert de contrat de réservation du bien. Ensuite vient la rédaction de l'acte de vente notarial (Escritura Publica), qui légalise la transaction du bien avec l'intervention d'un notaire.
Les taxes à payer le jour de la transaction immobilière
Dans les 30 jours suivant la signature de l'acte de vente notarial, vous devrez payer l'ITP (impôt sur le transfert de propriété – impuesto de transmisiones patrimoniales). Ce dernier varie entre 4 et 11% de la valeur du bien selon la communauté autonome. De plus, des frais de notaire d'environ 1% du prix du bien (minimum de 1500€) sont à prévoir.
Les impôts sur les biens immobiliers en Espagne pour les non-résidents
Même en tant que propriétaire non-résident, vous devrez faire face à certains impôts en Espagne :
- L'impôt foncier (IBI – Impuestos sobre bienes inmuebles) ;
- L'impôt sur le revenu des non-résidents (IRNR – impuestos sobre la renta de no residentes) : pour les non-résidents ne louant pas leur logement ;
- L'impôt sur la fortune (IP – impuestos sobre el patrimonio) : seulement pour les ménages ayant un patrimoine en Espagne d'au minimum 700.000 €.
Conclusion : la fiscalité en Espagne
L'Espagne offre de nombreux avantages fiscaux par rapport à la France ou la Belgique. L'impôt foncier est 3 à 4 fois inférieur, il n'existe pas de taxe d'habitation et les charges de copropriété sont 2 à 3 fois moins élevées. Par exemple, pour un appartement de 150.000€ à Valencia, attendez-vous à payer environ 500€ par an en taxes et charges.
Si vous envisagez d'acheter un bien immobilier en Espagne, n'hésitez pas à faire appel à nos agences immobilières francophones. Nos experts bilingues peuvent vous aider à analyser la faisabilité de votre projet, rechercher des biens adaptés, vérifier la conformité administrative et juridique, négocier avec le vendeur, et conclure l'achat en vous aidant avec la traduction.
Pour plus de détails, contactez-nous dès aujourd'hui.
Acheter en Espagne ?
Ça tombe bien !
Nous avons probablement dans notre réseau le bien immobilier qui vous correspond.
Mais avant téléchargez gratuitement le Guide de l'Acheteur™ pour éviter les erreurs lors de votre achat en Espagne.
Continuez votre lecture …
Voici d'autres articles et conseils sur l'achat et l'investissement immobilier en Espagne. Voir la liste de tous les guides d'achat.